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Pasde bébés à la consigne ! Les auxiliaires de puériculture se sont retrouvées sur la place des Fontaine et ont ensuite rencontré Mme Costes, Secrétaire Générale de la Préfecture. Photo Lecollectif Pas de bébés à la consigne s’est adressé aux administrateurs de la CNAF en leur envoyant un texte argumenté pour leur demander de ne pas émettre un avis favorable sur ce projet de décret. Vous trouverez ci-après cette adresse aux administrateurs CNAF qui développe nos motifs d’inquiétude sur les conséquences préjudiciables du décret pour la Dela Caisse des écoles à la préfecture de Limoges, le cortège du collectif « Pas de bébés à la consigne » a fait savoir, ce mardi, son désaccord avec les projets du gouvernement. Laloi ASAP n’est pas à la hauteur des attentes des professionnel·le·s de la Petite Enfance. Bien qu’un certain nombre de mesures vise et contribue à une amélioration des conditions d’accueil des enfants, la réforme annoncée est en-deçà des espérances des professionnel·le·s du secteur de la Petite Enfance. Pasde bébés à la consigne tiendra une visioconférence de presse le mercredi 14 avril à 11h (lien à venir). Pas de bébés à la consigne appellera prochainement les parents et les de nouvelles mobilisations pour un Mon Mari Est Sur Des Sites De Rencontre. l'essentiel Comme un peu partout en France, les professionnelles de la petite enfance étaient dans la rue, ce mardi 30 mars, pour s’opposer à la réforme de l’accueil du jeune enfant. Pas de bébés à la consigne !" Avec ce slogan reprenant le nom de leur collectif, les professionnels de la petite enfance ont manifesté, ce 30 mars, en début d’après-midi, dans les rues de Carcassonne. L’objet de leur mécontentement l’article 99 de la loi d’Accélération et de simplification de l’action publique Asap sur la réforme de l’accueil des jeunes enfants. Une loi portée par Adrien Taquet, secrétaire d’État en charge de l’Enfance et des Familles auprès du ministre des Solidarités et de la Santé, publiée le 8 décembre dernier et dont le décret d’application est prévu pour septembre. "Cette réforme compile tout un tas de petites choses qui nivellent l’accueil des plus petits par le bas", certifie Delphine Le Douarec, représentante de la Fédération nationale des éducateurs de jeunes enfants Fneje. Parmi elles, la réduction du nombre de mètres carrés dévolu à chaque bébé les normes actuelles sont fixées à 7 m2 et devraient passer à 5 m2. "Cette disposition est clairement faite pour Paris où le manque de locaux est flagrant. Mais, ici ! De fait, quand un gestionnaire va vouloir construire une crèche, il va s’orienter vers des bâtiments plus petits… qui lui reviendront moins cher. Et le bien-être des enfants, on en fait quoi ?", peste Marie-Josée Albérola, responsable de crèche à Narbonne. De même, la baisse de qualification on pourra diriger une crèche sans expérience ; un apprenti sera compté dans les taux horaires ou l’augmentation du nombre de bébés par encadrant de cinq pour un on passerait à six pour un inquiètent les manifestantes "Et pour les sorties ? Aujourd’hui, c’est un adulte pour deux enfants logique, on n’a que deux mains. Mais à l’avenir, ce sera jusqu’à un pour cinq ! Comment va-t-on faire, sachant qu’un enfant qui marche, il faut lui tenir la main, sinon, il s’échappe ? Pareil pour l’ouverture et la fermeture des structures nous sommes systématiquement deux, ce sera un à partir de septembre", souligne encore Delphine Le compensationEn guise de compensation, l’article 99 de la loi Asap prévoit d’accorder une demi-heure d’analyse de pratique par personne et par mois "Mais nous l’avons déjà mis en pratique dans beaucoup de structures et sur un volant d’heures plus large. Parce qu’on fait de plus en plus de soutien à la parentalité ou d’accompagnement d’enfants en difficultés. À Narbonne, par exemple, l’analyse des pratiques, c’est trois heures par mois. Notre métier a beaucoup évolué ces dernières années", précise Marie Josée les professionnelles de la petite enfance, toutes les mesures engagées visent à "créer des places de crèches sans donner de moyens, au contraire". Voilà pourquoi environ 80 d’entre elles ont battu le pavé ce mardi après-midi "Ce qui peut paraître peu mais on ne veut pas, non plus, pénaliser les enfants et les parents des sections ont fermé mais les autres sont restées ouvertes avec des personnels montrant clairement sur un brassard leur opposition à cette loi", conclut Delphine Le Douarec. En ce mardi 14 janvier, ce ne sont pas des dessins d’enfants qui décorent la crèche de Beauzac. Ce sont des banderoles qui parent les murs extérieurs. On peut lire dessus pas de bébés à la consigne ! ». C’est ainsi que se manifeste le personnel de la crèche qui reste néanmoins présent pour s’occuper des enfants. Ces professionnelles rejoignent le mouvement national de grogne. Leurs revendications ne portent pas sur une revalorisation de leur salaire. Leurs inquiétudes mettent au centre la qualité d’accueil. Les professionnelles beauzacoises rappellent que "cette qualité d’accueil doit être actuellement garantie par 1 professionnel pour 5 enfants avant 18 mois et un professionnel pour 7 enfants ensuite en Etablissement d’Accueil du Jeune Enfant… ; 1 surface de 7 m2 par enfant garantie sur tout le territoire ; un accueil en surnombre limité à 110 % des inscrits en EAJE établissement d’accueil de jeune enfant ; la généralisation des temps d’analyse de la pratique au sein de tous les modes d’accueil ; l’élévation globale des niveaux de qualification des modes d’accueil individuel et collectif par la formation initiale et par la formation continue diplômante ; l’alignement du cout restant à charge des familles, sur la base du quotient familial, quel que soit le mode d’accueil. A Beauzac comme ailleurs, on fustige la réforme du gouvernement, à savoir "aucun progrès pour les taux d’encadrement et de professionnelles les plus qualifiées", "une surface de m2 par enfant pour des dizaines de milliers de jeunes enfants", "115% d’accueil en surnombre pendant 4 à 7 h tous les jours". "On ne peut se résigner à de telles propositions de la part du gouvernement", font savoir les professionnelles de la petite enfance de la crèche de Beauzac. Que les banderoles de la colère puissent être décrochées, c’est le voeu des professionnelles ! Des milliers de professionnel-le-s et de parents dans la rue avec Pas de bébés à la consigne » et un premier succès pour le printemps des modes d’accueil La journée de mobilisation du 28 mars 2019 pour un printemps des modes d’accueil a connu une pleine réussite elle a réuni des milliers de professionnel-le-s et de parents dans 40 villes de France 1500 à Paris, 500 à Toulouse, 600 à Nantes, 400 à Lyon et à Bordeaux, 350 à Nice, 300 à Montpellier, 200 à Tours, Grenoble, Bayonne,… et a donné lieu à la fermeture de centaines de crèches et de multi-accueils en France, tant publics que privés 75% à Grenoble, 100% à Carcassonne, 90% à Narbonne, 80% à Tours, 75% en municipal à Nice,… Une délégation de Pas de bébés à la consigne » a été reçue par des représentantes du cabinet de Madame Christelle Dubos, secrétaire d’État auprès de la ministre des solidarités et de la santé. Concernant le projet de réforme des modes d’accueil dans la suite de l’art. 50 de la loi ESSOC, la mobilisation se traduit par un premier succès le ratio de 40/60 concernant les qualifications requises auprès des enfants ne sera pas remis en cause et les professions du premier groupe ne seront pas modifiées. D’autres mesures en cours d’examen, dont la première trame est vivement préoccupante, telles que le taux d’encadrement des enfants, les modalités d’accueil en surnombre, les surfaces par enfant, la capacité des micro-crèches, ne sont pas encore arbitrées par le gouvernement. Un document devrait être présenté par le ministère dans le mois qui vient, indiquant les orientations qu’il aura retenues sur ces dispositions précises et sur l’ensemble du projet de réforme. Une concertation publique sera alors ouverte par le ministère sur cette base. Le collectif Pas de bébés à la consigne » a rappelé son opposition à diverses mesures jusque là évoquées par les services ministériels cf. notre information du 11 mars 2019 et a présenté ses vingt propositions pour un printemps des modes d’accueil, parmi lesquelles revenir à un ratio d’au moins 50% de professionnel-le-s les plus qualifié-e-s en EAJE, atteindre l’objectif d’un ratio moyen d’encadrement d’un professionnel qualifié pour cinq enfants en EAJE d’ici 2022, limiter les possibilités d’accueil en surnombre à 110% en EAJE et conserver les modalités actuelles de calcul sur la semaine, assurer une surface d’accueil de 7m2 par enfant sur tout le territoire, conserver la capacité d’accueil des micro-crèches à 10 enfants, etc. Ces vingt propositions sont désormais sur la table des négociations que nous appelons de nos voeux. Pas de bébés à la consigne » lancera un appel-pétition dans les tout prochains jours, afin d’amplifier le vaste mouvement engagé par les parents, les professionnel-le-s et les citoyen-ne-s. Et si cela s’avère nécessaire, nous appellerons à se remobiliser dans la rue pour une réforme qui ouvre véritablement un nouveau printemps des modes d’accueil. pasdebebesalaconsigne La réforme des modes d’accueil de la petite enfance continue à ne pas faire l’unanimité auprès des Le gouvernement prévoit néanmoins de publier les ordonnances de cette réforme courant juin. Lire la suite… Cette loi est dangereuse, le 15 avril 2021, le CA de la CNAF Caisse Nationale des Affaires Familiales a rejeté le projet de décret réformant les modes d’accueil. Cette réforme c’est La possibilité d’accueillir plus de bébés par L’accueil en surnombre tous les jours. L’absence d’expérience professionnelle pour le personnel encadrant. Le calcul de leffectif moyen annuel du personnel pour le ratio des 40% de et 60 % de L’inclusion des apprentis dans le calcul du taux d’encadrement. L’administration des médicaments par les non La diminution de la surface d’accueil par enfant de 7m2 à 5,5 m2. Exemples de quotas d’accueil des tous petits Hollande 3 enfants pour un adulte, Hongrie 4 enfants pour un adulte, Grèce 4 enfants pour un adultes… En France, cette réforme fera passer le nombre d’enfants de 5 à 6 enfants pour un adulte. Nous revendiquons L’abandon de la loi ASAP et des projets dordonnaces associés Le bien être et la sécurité des enfants des établissements d’accueil et un Service public de la Petite Enfance de qualité Des conditions de travail décentes Une véritable reconnaissance des Une prise en compte de la pénibilité permettant un départ anticipé à la retraite Une revalorisation des salaires et des carrières La mobilisation doit se poursuivre ! NON à la dégradation de nos métiers pour la compétitivité lucrative NON à des conditions de travail de plus en plus difficiles et dégradées NON à un manque de criant encore plus à cette période de Covid NON à un nombre d’enfants toujours plus important à accueillir NON à des protocoles sanitaires difficilement applicables avec les moyens alloués. Tous et toutes jeudi 3 juin 2021 Les membres du collectif "Pas de bébés à la consigne !" vont manifester ce mardi matin à Montpellier, pour contester les réformes prévues dans les crèches et la petite enfance Par Jean-Marc Aubert Publié le 14 Jan 20 à 831 mis à jour le 14 Jan 20 à 836 ILLUSTRATION/ Le collectif Pas de bébés à la consigne ! » dans la rue ce mardi à Montpellier ©FacebookLes réformes annoncées par le gouvernement dans les crèches et la petite enfance ne font pas l’unanimité. Des associations se mobilisent, à l’instar du collectif Pas de bébés à la consigne ! », qui vont manifester ce mardi à 11h, devant les grilles de la préfecture de l’Hérault, dans l’ collectif qui n’est pas inconnu, puisque leurs adhérents ont déjà été dans la rue l’année dernière, lors d’actions des retraitesLe collectif qui se rassemblera avec le Collectif 34, l’UNSA, la CGT et la FNEJE rejoindra ensuite le cortège des opposants au projet de la réforme des retraites, en fin de matinée, sur la place de la Comédie. Les professionnels de la petite enfance, les parents, les futurs parents sont attendus nombreux à 11h devant la préfecture de l’Hérault, à Montpellier, T-shirt, pancartes, banderoles et instruments de musique sont les bienvenus », indique la responsable de ce article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Métropolitain dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.

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